Il est temps (F. Lerner)
Depuis
le temps que j’attends
Qu’on me donne le signal
Depuis le temps que j’attends
Un signe du temps
Ca fait déjà bien longtemps
Que je prie mon étoile
Ca fait déjà bien longtemps
Que j’attends l’instant
Depuis
le temps que j’entends
Toujours les mêmes phrases
Depuis le temps que j’entends
Les mêmes serments
Ca fait déjà bien longtemps
Que je tourne dans ma cage
Je crois que c’est le moment
De sortir maintenant
Il
est temps, il est temps
De changer un peu d’air
Il est temps, il est temps
De ne plus faire semblant
Il
est temps, il est temps
Que ma vie s’accélère
Il est temps, il est temps
C’est là ici et maintenant
Il est temps…
Depuis
le temps qu’on apprend
Tous les codes, les langages
Depuis le temps qu’on apprend
A être prudent
Ca fait longtemps que j’attend
De tourner d’autres pages
Ca fait longtemps que j’attend
De vivre vraiment
Il
est temps, il est temps
De changer un peu d’air
Il est temps, il est temps
De ne plus faire semblant
Il
est temps, il est temps
Que ma vie s’accélère
Il est temps, il est temps
De vivre à 100 %
Il
est temps, il est temps
D’aller à l’essentiel
Il est temps, il est temps
De regarder droit devant
Il
est temps, il est temps
De trouver l’étincelle
Il est temps, il est temps
C’est là ici et maintenant
Il
est temps, il est temps
Que le monde se réveille
Il est temps, il est temps
D’avancer autrement
Il
est temps, il est temps
Que nos vies se révèlent
Il est temps, il est temps
On peut tout vivre maintenant
Il
est temps, il est temps
De changer un peu d’air
Il est temps, il est temps
De ne plus faire semblant
Il
est temps, il est temps
Que nos vies s’accélèrent
Il est temps, il est temps
De vivre à cent pour cent
Il
est temps, il est temps
D’aller à l’essentiel
Il est temps, il est temps
De regarder droit devant
Il est temps, il est temps
De trouver l’étincelle
Il est temps, il est temps
D'y croire tout simplement
Il
est temps, il est temps
Il est temps
Il est temps, il est temps
Il est temps que l'on vive à temps
Il est temps
Il est temps |
Il faut se faire l'amour (M. Lavoine / F. Lerner)
Il
ne suffit pas de dire
Tous les mots même les plus doux
Il ne suffit pas de s’aimer comme des fous
Ca ne suffit pas de s’imaginer
Il
ne suffit pas d’y croire
Ca ne suffira jamais
Il ne suffit pas de projets d’avenir
Ni de promesses que l’on se fait
Il
faut se faire l’amour
Tous les jours un peu plus fort
Il faut se faire l’amour
Entre la vie et la mort
Il faut se faire l’amour
Même le corps fatigué
Il faut se faire l’amour
Et tous les jours recommencer
Il
suffit pas de chanter
La paix, la solidarité
Il ne suffit pas de croire en ses idées
Ca ne suffit pas de se révolter
Il
faut se faire l’amour
Tous les jours un peu plus fort
Il faut se faire l’amour
Entre la vie et la mort
Il faut se faire l’amour
Même le corps fatigué
Il faut le faire encore
Et tous les jours recommencer
Il
ne suffit pas de projets d’avenir
Ni de promesses qu’on ne tient jamais
Il
faut se faire l’amour
Tous les jours un peu plus fort
Il faut se faire l’amour
Entre la vie et la mort
Il faut se faire l’amour
Même le corps fatigué
S’aimer pour faire l’amour
Se faire l’amour pour s’aimer
|
Gagner la course (F. Lerner)
Des
milliers d'hommes au départ
Une seule envie, écrire la plus belle histoire
Nourri de rêves et d'espoir
Chacun ici se sent prêt pour la victoire
Dans
leurs yeux brûle la flamme
Ce feu sacré qui illumine le plus profond de l'âme
Les dieux, les diables s'enflamment
Tout le monde est prêt, allez ouvre-toi Sésame
Et
s'il faut gagner la course
S'il faut toujours être le premier
On se "doublera" tous
Y'a pas de place pour les derniers
Nous n'aurons pas le temps
De ralentir même un instant
Attention chaud devant
Laissez passer, l'avenir attend
C'est
la course à la vie, la vie
La vie, la vie,
Où tous les coups sont permis pour vivre
Pour vivre, pour vivre ici
Certains
sont déjà devant
S'ils sont bien nés rien n'est gagné pour autant
Génétique et globules blancs
Ça peut aider mais ça ne dure qu'un temps
Dans
leurs veines coule le sang
De ces ancêtres venus ici y'a déjà bien longtemps
Mêmes noms et même rang
Identité ou bien numéro gagnant
Et
s'il faut gagner la course
S'il faut toujours être, le premier
On se "doublera" tous
Y'a pas de place pour les derniers
Nous n'aurons pas le temps
De ralentir même un instant
Attention chaud devant
Laissez passer, l'avenir attend
Nous
n'aurons pas le temps
Nous n'aurons pas le temps
Et
s'il faut gagner la course
S'il faut toujours être le premier
Tous pour un, un pour tous
Les contes de fée c'est terminé
Nous n'aurons pas le temps
De jouer aux héros bien pensants
Les princes ne sont plus charmants
Tant pis pour les belles au bois dormant
S'il
faut gagner la course
S'il faut toujours être le premier
On se "doublera" tous
Y'a pas de place pour les derniers
Nous n'aurons pas le temps
De ralentir même un instant
Attention chaud devant
Laissez passer, l'avenir attend
Et
s'il faut gagner la course
S'il faut toujours être le prennier
On se fera des coups en douce
Y'aura des têtes à faire tomber
Nous n'aurons pas le temps
D'avoir le moindre sentiment
Oeil pour œil, dent pour dent
Et toujours avoir l'air innocent |
Laisse-moi y croire (F. Lerner)
Regarde
autour de toi
Et dis-moi ce que tu vois
Y'a des silences qui ne trompent pas
Tu peux fermer les yeux
Faire semblant d'être heureux
Mais cette vie là, moi, j'en veux pas
Laisse-moi
y croire
Laisse-moi y croire
Laisse-moi y croire
J'ai
vu des ombres se faner
Du sang et des larmes couler
Il y a tant de souffrances lacs, tant de douleurs.
Tant de colères et tant de peurs
J'ai vu tous ces regards baissés
Ces mains tendues, ces poings serrés
Il y a tant de mépris, tant d'ignorance,
Tant d'ego et de différences
Laisse-moi
y croire
C'est beau quand on y pense
Laisse-moi y croire
Donne-nous une autre chance
Tu
sais,
On pourrait tout changer
Dans ce monde à refaire
Se battre pour exister
Ne plus se laisser faire
On pourrait tous ensemble
Retrouver le chemin
D'une vie qui nous ressemble
Et marcher main dans la main
On
pourrait prendre le temps
De vivre et de s'aimer
Se dire tout ce qu'on ressent
Se laisser emporter
On pourrait oublier
Tout le mal qu'on s'est fait
Essayer d'effacer les blessures et les regrets
Laisse-moi
y croire
C'est beau quand on y pense
Laisse-moi y croire
Donne-nous une autre chance
Tu
sais,
Laisse-moi y croire
Qu'un jour tout recommence
Laisse-moi y croire
J'ai tant besoin d'une autre histoire
On
pourrait s'écouter,
S'accepter, se comprendre
Apprendre à se donner
Tout ce qui n'est plus à prendre
On pourrait partager
Ce qui nous arrive enfin
Pour ne rien regretter
Quand la lumière s'éteint
On
pourrait tout apprendre
Comme si on ne savait rien
Apprendre à se reprendre
Devenir des gens bien
On pourrait simplement
Essayer de s'aimer
Tout serait différent
Si on pouvait changer
Laisse-moi
y croire
C'est beau quand on y pense
Laisse-moi y croire
Donne-nous une autre chance
Tu
sais,
Laisse-moi y croire
Qu'un jour tout recommence
Laisse-moi y croire
J'ai tant besoin d'une autre histoire
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Plus rien (F. Lerner)
J'aurais
jamais cru qu'on se verrait
Après toutes ces longues années
Au coin d'une rue, tout près des quais
Je me souviens qu'on s'est aimé
Plus
rien
Il ne reste plus rien
Partager toutes ses nuits
Tous ses matins
Et puis…
Plus
rien
Il ne reste plus rien
Qu'est-ce que t'as fais depuis
Qu'est-ce que tu deviens
On
se rappelle un peu tout ce qu'on était
On se dit "tu n'as pas changé"
Et toi depuis nous deux
Qu'est-ce que t'as fait
T'as un enfant, tu t'es mariée
Plus
rien
Il ne reste plus rien
Donner tant de sa vie
Pour n'être qu'un
Parmi...
Plus
rien
Il ne reste plus rien
Tout ce qu'on s'était promis
Le valait bien
On
a tous au fond de nos mémoires
Une trace, l'empreinte d'une histoire
Des images, des parfums, des regrets
Des blessures qu'on oubliera jamais
Jamais jamais jamais jamais
On a tous au fond de nos mémoires
Une larme, l'écho d'un au revoir
Au revoir
Des adieux, sur le bord d'un chemin
Quelques mots et puis après plus rien
Plus rien plus rien plus rien plus rien
On
a tous
Au fond de nos mémoires
Une trace, l'empreinte d'une histoire
D'une histoire
Des visages, des sourires qu'on aimait
Des visages, des sourires
Des blessures gravées à tout jamais
Plus rien, plus rien
Plus rien |
La roue tourne (F. Lerner)
Dis-moi
papa j'ai quelques questions
A l'école je passe pour un con
Là-bas ils disent que le Père Noël n'existe pas
J'ai beau leur dire ce qu'il a pu m'offrir
Tous ces jouets par milliers dans mon petit soulier
Mais ils me disent que c'est toi et les filles se moquent de moi
Dis-moi
maman j'ai juste une question
Au lycée y'a contraception…
Là-bas elles disent que "l'espoir" de la pop c'est
moi
Elles me dévisagent et moi j'envisage
Je leur chante Lennon et "Quand la musique sonne"
Y'a de l'émotion dans leur voix et moi j'aime bien ça
C'est
la roue qui tourne
Et puis qui s'arrête
C'est la roue qui tourne tourne tourne
Au dessus de nos têtes
C'est
la roue qui tourne
Et puis qui s'arrête
La main qui la tourne tourne tourne
Te choisira peut-être
Papa,
maman faut se faire une raison
J'ai du mal avec mes chansons
Là-bas ils disent qu'y'a pas de place pour moi
"tu sais chanter mais faut pas rêver,
Des mecs qui ont ta voix on en a déjà des tas"
Je ne suis peut-être pas dans le format mais je ne baisse pas
les bras
C'est
la roue qui tourne
Et puis qui s'arrête
C'est la roue qui tourne tourne tourne
Au dessus de nos têtes
C'est
la roue qui tourne
Et puis qui s'arrête
La main qui la tourne tourne tourne
Te choisira peut-être
La
roue tourne souviens-toi
Elle tourne aussi pour toi
Un petit tour et puis s'en va
Allez viens relève-toi
Un jour tu peux être en bas
Un jour tu peux être roi
La roue tourne n'oublie pas
C'est
la roue qui tourne (spin the wheel)
Et puis qui s'arrête (spin the wheel)
C'est la roue qui tourne tourne tourne
Au dessus de nos têtes (spin the wheel)
C'est
la roue qui tourne (spin the wheel)
Et puis qui s'arrête (spin the wheel)
La main qui la tourne tourne tourne
Te choisira peut-être (spin the wheel)
C'est
la roue qui tourne tourne tourne
C'est la roue qui tourne tourne tourne
Cette roue qui tourne tourne tourne
Te rattrapera
C'est
la roue qui tourne tourne tourne
C'est la roue qui tourne tourne tourne
La main qui la tourne tourne tourne
Ne t'oubliera pas
Spin
the wheel
|
Jamais personne (F. Lerner)
On
voudrait tout apprendre
Sur les autres et sur soi
Essayer de comprendre
Les raisons, les pourquoi
On voudrait tout donner
S'arrêter, tendre la main
On voudrait partager
Même des petits bouts de rien
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour aimer comme on aime
Quand tu reçois, plus tu donnes
Mais y'a maldonne
On continue quand même
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour comprendre tes rêves
Quand dans ta tête ils résonnent
Tu t'emprisonnes
Pour les garder quand même
On
se fait des serments
Des "promis", des "juré"
Des projets dans le temps
Des trucs genre fidélité
On
se dit : "si jamais "
"tu pourras compter sur moi"
Des "si, je te promets"
"Merci d'être toujours là"
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Quand c'est toi qui appelle
Quand y'a plus rien qui fonctionne
Quand t'abandonne
C'est chacun ses problèmes
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour comprendre ta peine
Tout ce mal que tu fredonnes
Quand tu frissonnes
Il faut que tu l'apprennes
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour aimer comme on aime
Quand tu reçois, plus tu donnes
Mais y'a maldonne
On continue quand même
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour comprendre tes rêves
Quand dans ta tête ils résonnent
Tu t 'emprisonnes
Pour les garder quand même
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour t'aider quand tu saignes
On te dit que tu déconnes
Que t'en fais des tonnes
Salut merci quand même
Mais
il y a jamais personne
Pour aimer comme on aime
Quand tu reçois plus tu donnes
On continue quand même
Mais
il y a jamais personne
Pour comprendre tes rêves
Quand dans ta tête ils résonnent
Pour les garder quand même
Mais
il y a jamais personne
Non personne
Pour comprendre ta peine
Tout ce mal que tu fredonnes
Quand tu frissonnes
Il faut que tu l'apprennes
|
J'irai au bout ( I. Bo - F. Lerner / P. Hampartzoumian)
Je
te sens si loin de moi
Quelque part dans tes pensées
Toutes ces heures où tu t’en vas
Je ne sais plus comment t’approcher
Et tu te caches derrière des silences
Tu me la joues indifférence
Je
t’en prie regarde-moi
On pourrait peut-être en parler
Je sais bien ce qui ne va pas
Si seulement je pouvais tout effacer
Comment faire pour que tout recommence
Et comment retrouver ta confiance
Et même à genoux
J’irai au bout
Plus
loin que tout
Plus loin que l’enfer
J’irai forcer les portes du ciel
Pour retrouver un peu de lumière
Retrouver en toi l’étincelle
Plus
loin que tout
Plus loin que tes rêves
J’irai forcer les portes du temps
Te retrouver quand le jour se lève
Pour te retrouver tout doucement
Je
t’en prie pardonne-moi
Je sais bien le mal que j’ai fait
Tu peux pas me laisser comme ça
Ici au milieu de tout ce qu’on était
Et
dans tes yeux nos différences
Laisse-nous au moins une autre chance
Même si je suis fou
J’irai au bout
Plus
loin que tout
Plus loin que l’enfer
J’irai forcer les portes du ciel
Pour retrouver un peu de lumière
Retrouver en toi l’étincelle
Plus
loin que tout
Plus loin que tes rêves
J’irai forcer les portes du temps
Pour qu’un matin la raison s’achève
Pour te retrouver tout doucement
Plus
loin que tout
Et bien plus encore
J’irai chercher les feux de ton âme
Retrouver tout ce qui nous rendait forts
Tenter de rallumer la flamme
Plus
loin que tout
Plus loin que l’enfer
J’irai forcer les portes du ciel
Pour retrouver un peu de lumière
Retrouver en toi l’étincelle
Je
te sens si loin de moi
Quelque part dans tes pensées
Toutes ces heures où tu t’en vas
Je ne sais plus comment t’approcher
Mais je te rejoins et j’avance
Pour échapper à toutes les distances
Qu’il y a entre nous
J’irai au bout
Plus
loin que tout
Plus loin que l’enfer
J’irai forcer les portes du ciel
Pour retrouver un peu de lumière
Retrouver en toi l’étincelle
Plus
loin que tout
Et bien plus encore
J’irai chercher les feux de ton âme
Retrouver tout ce qui nous rendait forts
Tenter de rallumer la flamme
Plus
loin que tout
Plus loin que tes rêves
J’irai forcer les portes du temps
Te retrouver quand le jour se lève
Pour te retrouver tout doucement
Plus
loin, plus loin, plus loin, plus loin que tout
J’irai
au bout
|
Etre libre (F. Lerner)
Il
est là je le sens
A l’intérieur de moi
Il est là je l’entends
Qui me parle tout bas
Il est là et pourtant
Je le connais pas
Il
est là il me prend
Et se moque de moi
Il nage dans mon sang
Et me suit pas à pas
Qui est-il vraiment ?
Qu’est-ce qu’il fait là ?
Tu
vois, j’ai l’impression
De lui appartenir
D’être là comme un con
A attendre le pire
Je ne contrôle plus ma vie
Car maintenant c’est moi et lui
Il
est là il s’endort
Puis vient me réveiller
Il est là il m’ignore
Puis il vient m’attaquer
Il m’abîme, me dévore
Il veut gagner
Il
est là il est fort
Il fait tout ce qu’il veut
Il joue avec mon corps
Et me tue peu à peu
Dis-moi est-ce qu’on s’en sort ?
Ne dis rien c’est mieux
Tu
vois, j’ai l’impression
D’être deux dans mon corps
D’être là comme un con
A attendre la mort
Je ne contrôle plus ma vie
Tu sais maintenant moi c’est lui
Et tu as beau me dire
De ne pas trop m’en faire
De garder le sourire
D’être fort, d’être fier
Que la vie continue
Et que rien n’est perdu
Mais est-ce que tu crois vraiment
Que je peux faire semblant
Faire semblant d’être heureux
Comme si de rien n’était
Crever à petit feu
Oublier qui j’étais
Est-ce que tu crois qu’on peut
Vivre sans y penser
Se dire qu’il y a un bon dieu
Que rien ne peut nous arriver
Je
voudrais pouvoir m’enfuir
Tout quitter, l’oublier
Retrouver le plaisir
Réapprendre à aimer
Ces parfums qu’on respire
Ce goût à partager
Une vie à écrire
Si seulement je pouvais
Etre libre
Etre libre
Comme avant être libre
Il
est là je le sens
A l’intérieur de moi
Il est là je l’entends
Qui me parle tout bas
Il est là et pourtant
Je le connais pas
Il
est là il me prend
Et se moque de moi
Il nage dans mon sang
Il me suit pas à pas
Qui est-il vraiment ?
Qu’est-ce qu’il fait là ?
Etre
libre
Etre libre
Etre libre
Pour être libre
|
Nos larmes (F. Lerner)
C’est
comme un peu de pluie
Qui coule sur nos vies
Des traces essentielles
Au goût de sel
Loin
de nos douleurs d’enfant
De ces cris portés par le vent
Doucement elles se dessinent
Ces jolies perles fines
On
a tous au fond des yeux
Cet océan de bleu
Qui déborde parfois
A l’ombre de soi
Nos
larmes
Nos larmes
Nos larmes
Larmes |